Funérailles célestes, par l’écrivaine chinoise XINRAN
Hymne à l’amour, et à la tolérance …
Ce roman est écrit d’après une histoire vraie. Pour commencer, l’écrivaine et journalise chinoise Xinran a rencontré « Shu Wen » après son retour en Chine. Cette dernière lui a raconté son histoire. Une histoire ô combien émouvante et touchante, dont les évènements se déroulent au beau milieu de nulle part, au Tibet. En 1958, une femme âgée de vingt six ans, jeune médecin récemment mariée avec son bien aimé « Wang Kujen », part à la recherche de son mari, qui a rejoint, trois semaines après leur mariage, le front de l’armée chinoise au Tibet. Quelques jours après son départ, elle reçoit une lettre lui annonçant sa
mort. Une mort dont les circonstances font défaut et intriguait alors Wen.
Elle mène une longue quête, une si longue quête durant trente ans avant de découvrir le mystère de sa disparition. Elle croise une femme tibétaine qui lui sauve la vie, elle côtoie ensuite une famille tibétaine, la famille « Saierbaio », avec laquelle elle passe une grande partie de sa vie, en découvrant leur culture et la vie des paysans nomades entièrement isolés du monde , leurs rituels et traditions, notamment l’enterrement des morts, soit en organisant des funérailles célestes en offrant le cadavre aux vautours, ou une funérailles aquatiques. De même, elle découvre que la femme au Tibet peut épouser plusieurs maris à la fois, ce qui est le cas de la famille qui l’a côtoyée. Les combats armés et politiques entre la Chine et le Tibet n’ont plus de sens dans le quotidien de cette famille nomade, qui vit au rythme des saisons, en harmonie avec la nature et les divinités sacrées. Une histoire d’aventure, un carnet de voyage ou peut être une histoire d’amour ? On les retrouve tous ans ce roman. Un récit humanitaire rappelant la pureté de l’amour qui a défié le temps et la guerre, et retraçant la vie d’une jeune médecin chinoise, devenue une femme tibétaine imperturbable, et indéfiniment fidèle.. « Un avion sans elle » de l’auteur des bestsellers français Michel Bussi La détermination de l’identité d’une rescapée avant l’ère des tests ADN.
Une intrigue excitante jusqu’à la dernière ligne. Un roman addictif qui vous tiendra en haleine jusqu’à la page 547 ! Sans doute, Le point fort de l’auteur est sa capacité de surprendre le lecteur. Il vous joue toujours des tours et vous induit intelligemment en erreur. La fin est pour la plupart du temps imprévisible. Sinon, vous n’allez pas lâcher ce roman sans le finir. L’histoire d’un bébé qui a miraculeusement survécu suite à un crash avion sur le Mont Terrible, qui tue 168 passagers. Or, il y avait deux bébés, et de ce bébé que l’on trouve à proximité de la carcasse de l’avion. Lyse-Rose ou Emilie? Les deux bébés étaient à bord. Qui a survécu? Deux familles en conflit et de classe sociale différente, une fille survivante et une interminable série d’événements et de meurtres conséquents à cet accident. Quelle est la véritable identité de la survivante? Que devra-t-elle faire s’il s’avère que l’homme qui l’aime à mourir n’est autre que son frère ? Un thriller polyphone sur la recherche de l’identité des enfants avant l’avènement de l’ère des tests ADN. Beaucoup d’émotions, de suspense, et de twists au menu. Je vous le recommande vivement, si vous êtes fan de Bussi.
La femme à la fenêtre de l’écrivain américain A.J. FINN
Un roman cinématographique à déguster !
Un thriller psychologique haletant. Impossible à lâcher selon le roi des thrillers « Stephan King », avec un dénouement époustouflant. Une storyline impeccable, les twists imprévisibles et souvent au bon moment.
Anna Fox, pédopsychiatre, une femme séparée de sa fille et de son mari, vit toute seule dans sa maison sans pouvoir la quitter à cause des crises d’agoraphobie, déclenchés suite à un événement traumatisant qui a changé sa vie. Du coup, elle se referme sur elle- même et ne reçoit presque plus personne chez elle sauf son psy et son kiné. Confinée chez elle, elle passe une bonne partie de son temps à espionner ses voisins à travers sa fenêtre. Un jour, elle sera le seul témoin d’un crime horrible qu’elle apercevait depuis sa fenêtre dans la maison d’en face. Le personnage principal va vous entraîner dans un cycle infernal, dans un labyrinthe sans issue.Même au moment où l’histoire perd un peu de son charme, l’écrivain américain A.J.
Finn, se rattrape aussitôt pour attacher le lecteur à ses pages.
L’écrivain se glissent dans la peau du personnage, en empruntant sa voix, en décrivant ses émois, de sorte qu’on n’arrive pas à déceler le vrai du faux puisque à un moment donné, on croit bien aux hallucinations d’Anna Fox,. Elle est témoin d’un meurtre que personne n’en a entendu parler, sans cadavre, sans aucune piste, ou trace. La victime, est d’après tout le monde, n’est pas celle qu’elle prétendait. Dés lors, malgré les accusations des autres, des voisins, du psy et des inspecteurs de la police, elle va essayer de prouver que le crime a concrètement eu lieu et n’est pas le fruit de son imagination et l’effet des médicaments et de l’alcool…Un roman cinématographique, déjà traduit en 38 langues et en cours d’adaptation pour un long métrage et à paraître prochainement…après cette crise sanitaire !
Espérons bien !
Esleme Hadj Sassi