lun. Oct 14th, 2024

1 thought on “Cher Professeur et ami Arselène Ben Farhat

  1. Une interview très intéressante, et des réponses et idées très riches, utiles et instructives de la part du professeur de français Arslan bin Farhat, que je respecte et applaudis tant, était autrefois mon mentor pédagogique lorsque j’ai enseigné le français dans les années 1990.
    Je n’étais pas spécialiste de français, cependant j’ai réussi à bien exercer ce métier grâce aux formations que nous ont données plusieurs mentors expérimentés comme B. Arslan, M. Al-Trabelsi, cher inspecteur A. Masmoudi et de nombreux autres professeurs. Et, également, les cycles de formation chaque samedi, au crefoc si j’ai la bonne mémoire.
    En effet, c’était le beau temps de la formation, du labeur, de la persévérance… Le matériel pédagogique que nous avons reçu, en plus de notre dévouement, a permis à mes collègues et moi de bien pratiquer notre metier, de sorte qu’un jour une inspectrice a admis que les non-spécialistes (comme on nous appelait à l’époque) étaient meilleurs que les spécialistes, m’a-t-elle dit en face à face. (Ce qui confirme l’idée que la formation des formateurs est une priorité urgente, aujourd’hui dans le processus des réformes de l’education « de la formation jaillit la lumière »)
    Mais depuis 2003, je suis retournée à ma spécialité d’origine, que j’aime tant: la sociologie, dans laquelle j’ai terminé mon mastere et mon doctorat, et aujourd’hui je suis enseignante-chercheure en sociologie à l’Université de Tunis. Mais mon expérience d’enseignement en langue française, dont je me suis souvenue en lisant ces fines lignes, a vraiment marqué ma carrière scientifique et ce fut un très bon moment dans ma vie.
    Mes salutations au professeur Arslan, ainsi qu’à son interlocuteur, et merci pour ses questions très pertinentes, précises..

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